Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
30 avril 2012 1 30 /04 /avril /2012 10:25

 EGLISE ND DE LA NATIVITE ETEL (fiche patrimoine)

Désignation

Dénomination : église paroissiale   Vocable : Nativité de Notre Dame

Appellation et titre dite Notre-Dame des Flots  Partie(s) contituante(s) parvis

Précisions sur la localisation    Numéro INSEE de la commune 56055

Aire d'étude : Belz  Canton : Belz  Milieu d'implantation en village Latitude : 47.6570922

Longitude : -3.2012581

Eléments de description

Matériau(x) du gros-œuvre et mise en œuvre : granite ; moellon ; enduit ; pierre de taille ; béton armé   Matériau(x) de couverture : ardoise  Parti de plan : plan allongé

Vaisseau et étage : 1 vaisseau   Type et nature du couvrement : lambris de couvrement

Type de la couverture : toit à longs pans ; pignon découvert

 Commentaire descriptif : L´église occupe la partie est d´une place au centre du bourg, anciennement hameau de Kerévin.


Elle est de plan quadrangulaire à chevet plat, avec une sacristie (et local technique) adossée au sud-est et massif occidental contre le pignon ouest. L'église dépourvue de transept présente une nef centrale et des collatéraux. Elle a cinq travées délimitées par de simples poteaux bois.
Vu de l´extérieur, l´édifice apparaît très simple avec des baies cintrées et pour seul décor une corniche moulurée à l´égout du toit. L´ensemble des parements extérieurs de l´édifice, constitués de moellons est enduit. Les soubassements ont été récemment dégradés par erreur.

Le massif occidental œuvre de Lussault de style néo classique, intègre un porche maçonné en pierre de taille avec chaînes d´angle en forme de pilastres et bandeau saillant. Son portail cintré présente des ébrasements intérieurs à ressauts. Le clocher de plan carré est en béton armé avec chaînes d´angle et corniche en pierres de taille de granite gris. Sa flèche en charpente est pyramidale.


A l´intérieur l´ensemble du décor du 19e siècle, à l´exception de la tribune, des fonts baptismaux et des vitraux, a disparu. Le dallage de granite est conservé. Les aménagements réalisés entre 1945 et 1958 ont dépouillé l´église de toute surcharge. Les huit colonnes de bois sur soubassements de granite supportent un couvrement lambrissé en forme de berceau. Tandis que la fresque de Xavier de Langlais offre une polychromie douce sur l´intégralité du chevet, les murs de l´église sont entièrement recouverts d´un enduit blanc et lumineux. On déplore toutefois comme à l´extérieur de l´édifice la dégradation des enduits en partie basse au pourtour intérieur des murs. Le plateau liturgique et l´ensemble du mobilier, confessionnaux compris, date également des années 1950. Réalisés en bois exotique et treillage de ferronnerie, il constitue un ensemble homogène en adéquation avec les volumes simples de l´église rénovée.

Eléments d'historique

Datation(s) principale(s) : 19e siècle  Datation(s) secondaire(s) : 3e quart 20e siècle

Auteur(s) de l'oeuvre : Lussault (architecte) ; Rouxel (entrepreneur) ; Quennec (entrepreneur) ; Halouis (architecte) ; Caubert de Cléry (architecte) ; De Langlais (peintre)

Justification de la (des) attribution(s) : attribution par source ; attribution par travaux historiques

Commentaire historique : A l'origine Etel dépendait de la paroisse d'Erdeven et ne disposait d'aucun lieu de culte. Les fidèles devaient se rendre à l'église d'Erdeven ou dans la chapelle voisine de Saint-Germain (actuelle commune d'Erdeven). Aussi vers 1830 on se préoccupa d'édifier à Kerévin une chapelle de secours. Suivant les plans et l'estimation de l'architecte Lussault de Lorient, l'adjudication des travaux de construction fut emportée par Rouxel et Quennec en avril 1835 (Danigo, 1986). Dès 1845 il est question de réparations importantes à la chapelle, notamment du remplacement partiel de la couverture en cuivre réalisée par Chalmé fondeur à Lorient, dont la tenue dans le temps n'est pas satisfaisante (AD56, 2O 54/5).
La chapelle devient église paroissiale le 2 septembre 1849. En 1851, l'architecte Halouis établit les plans et devis de restauration de l'édifice, intégrant une proposition d´agrandissement vers l´est. Comme le confirme un plan masse du quartier daté 1862, seules les rénovations du décor intérieur et de la charpente de couverture furent effectivement réalisées (fig.2). L'entreprise Daniel de Ploemeur se chargea des travaux dont la réception eut lieu le 10 décembre 1853 (Danigo, 1986). Les plans d´Halouis conservés aux archives, confirment qu´il s´agit alors d´un édifice de plan rectangulaire à trois travées, massif occidental avec porche et fonts baptismaux dans oeuvre, le choeur occupant l´espace d´une demie travée contre le chevet plat.


25 ans plus tard, pour faire face à l'augmentation de la population des fidèles il est toujours question d'agrandir l'église. Maigné, architecte du département, présente en 1877, un projet d'agrandissement côté choeur, s´inspirant largement de celui d´Halouis. Ces travaux ne furent pas réalisés et on se contenta en 1888 de faire construire une grande tribune au fond de l'église (Danigo, 1986).


Le conseil de fabrique se chargea finalement d'allonger l'église en créant une travée supplémentaire comme l'avait projeté Maigné mais en reculant le pignon du chevet dans de moindres proportions. Cette campagne de travaux devait inclure l'agrandissement des baies et la pose de vitraux en 1889 et 1891.


En 1901, un projet de l´abbé Le Troucher de Sainte-Anne d´Auray, vise à nouveau l´agrandissement de l´église mais cette fois vers l´ouest, avec l´intention d´élever un clocher (AD56, 20 55/5). Il restera sans suite.
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, la municipalité confie à l´architecte vannetais Guy Caubert de Cléry le soin de rénover l´église et d´y élever enfin un clocher (AD56, 49J 945 et 2208). Les travaux s´achèvent en 1958 par la réalisation sur le mur du chevet, d´une fresque monumentale à la gloire de la Vierge protectrice du monde maritime reconnaissant (fig.3).

Statut juridique

Statut de la propriété propriété publique

Intérêt et protection

Nature de la protection MH : édifice non protégé MH

Documentation

Documents figurés

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Plans accompagnant le devis du 22 avril 1851, pour la reconstruction de l'église par Halouis architecte, Etat en 1851, coupe longitudinale..

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Plans accompagnant le devis du 22 avril 1851, pour la reconstruction de l'église par Halouis architecte, Projet de modification en 1851, coupe longitudinale..

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Plans accompagnant le devis du 22 avril 1851, pour la reconstruction de l'église par Halouis architecte, Etat en 1851 : coupe transversale..

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Plans accompagnant le devis du 22 avril 1851, pour la reconstruction de l'église par Halouis architecte, Projet de modifications de 1851, coupe transversale..

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Plans accompagnant le devis du 22 avril 1851, pour la reconstruction de l'église par Halouis architecte, Projet de modifications, en 1851 : plan..

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Plans accompagnant le devis du 22 avril 1851, pour la reconstruction de l'église par Halouis architecte, Projet de modifications en 1851 : élévation sud..

AD56, 3Es 55/29 (Etel, église).
Projet d'agrandissement de l'église d'Etel par L. Maigny (Maigné), architecte du département.
Le devis est accompagné d'un plan, d'une élévation et de deux coupes, signés et datés du 20 mars 1877.
4 planches sur calque. Echelle 1/100e.
Ce projet ne fut pas réalisé, Projet d'agrandissement de 1877 : coupe longitudinale..

AD56, 2O 55/5 (Etel, église).
Projet d'agrandissement de l'église et de construction d'un clocher, par l'abbé Le Troucher, en 1901.
Le cahier des charges est accompagné d'un plan, de deux élévations et d'une coupe, signés et datés (certaines) du 10 avril 1900.
4 planches sur calque. Echelle 1/100e.
Ce projet ne fut pas réalisé, Projet d'un clocher, en 1900 : coupe longitudinale..

Bibliographie

Danigo, Joseph. Eglises et chapelles du doyenné de Belz, Bannalec, 1986, p. 53.

Le Mené, Joseph-Marie. Histoire archéologique, féodale et religieuse des paroisses du diocèse de Vannes, 2 tomes, Vannes, 1891-1894, réédition Coop-Breiz, 1994.
Origine du nom Ectell, prononcé Intel puis écrit Etel par l'administration.
Dolmens ruinés près du bourg, et vestiges gallo-romains sur la grève à Penester.
Donne le chiffre de 1926 habitants pour une superficie communale de 102 hectares, à l'époque de la rédaction de son ouvrage.
L'église dédiée à la Nativité est de plan rectangulaire et de style grec : c'est une réduction de celle de Lorient, et l'un des derniers édifices religieux de ce style construit dans le diocèse, p. 223.

 

Partager cet article
Repost0
3 août 2011 3 03 /08 /août /2011 15:03

Cet instrument semble passé de mode c'est le moins qu'on puisse dire... Voire!

Pour les profanes, les mélomanes, parfois même les organistes, cet instrument de musique q sonne comme une antiquité désuète...On le trouve désormais bien rarement dans un salon, dans une église, dans un ensemble instrumental; et plus souvent par voie de conséquence dans l'oubli des remises, des greniers, en décoration dans quelque ancienne maison où l'on ne s'est pas encore résolu à le jeter!

Ou alors encore dans les "foires à tout", ou chez un brocanteur....après que l'on ait constaté sa vétusté, et toute incapacité à en extraire le moindre son musical ou harmonique!

 

Tiens, harmonique, harmonie, harmonium...

Oui nous sommes bien dans la même famille...

C'est Alexandre DEBAIN son inventeur qui lui attribua ce vocable, et le fit breveter en 1842. Son développement et sa reconnaissance se fit en conséquence dans les salons du Second Empire.

 

Or aujourd'hui, un harmonium cela se répare, et cela se joue avec un réel bonheur. (tandis que les orgues numériques ne sauraient bénéficier de la même durée de vie...)

Dans notre commune du littoral morbihannais, nous avons fait restaurer un DEBAIN de deux claviers, sept jeux. La Mairie a joué le jeu (c'est le cas de le dire!).

 

Il est en service depuis fin 2010, tant dans un aspect liturgique qu'en auditions et concerts. Il est mieux qu'un instrument d'accompagnement, il développe ses harmoniques avec des chanteurs, avec des flûtes, avec un violon, une bombarde etc..

Médaille d'or en 1878 - le nôtre -; eh oui, c'est un instrument qui fut joué dans les Salons du Second Empire par Saint Saens, Gounod, Offenbach, César Franck, Berlioz....

 

Les inventions électriques, puis numériques ont failli l'anéantir, mais croyez-moi, même un Chef talentueux comme Paul KUENTZ de passage à Etel, au printemps 2011, s'écrie:

 

"Mais je n'ai jamais vu cela, c'est extraordinaire, quel son!". Immédiatement il pense à un enregistrement de la "Petite Messe Solennelle" de Rossini sur cet instrument...

 

Passez en l'Eglise Notre Dame des Flots d'Etel, tout près d'Auray, et reportez vous à l'échéancier des programmes sur ce blog. Merci pour votre visite!

Ci-dessous quelques sites:

http://fr.wikipedia.org/wiki/Harmonium

 

http://www.appl-lachaise.net/appl/article.php3?id_article=2960

http://www.harmonium.fr

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 mars 2011 3 23 /03 /mars /2011 09:09

 Xavier de LANGLAIS (1906-1975)

 

Carte des Pays bretons de Xavier de Langlais

Vannetais par sa naissance, ses racines profondes, son enfance, l'essentiel de son inspiration, Xavier de Langlais s'était fixé à Rennes dès 1941 tout en gardant des relations fréquentes avec son pays d'origine et il y restera jusqu'à sa mort, en 1975.

C'est à la vie de cette grande cité qu'il va désormais participer. Professeur à l'Ecole des Beaux-Arts pendant 25 ans il saura s'attirer l'admiration et l'affection de ses élèves par sa courtoise autorité autant que par sa compétence exceptionnelle.

Il n'avait pas pourtant abordé cet enseignement auquel le contraignaient des nécessités matérielles sans une certaine inquiétude, redoutant qu'il n'enlève à sa propre création une part de sa spontanéité, qu'il n'apporte à son art une sorte de systématisation, craintes qui devaient se révéler vaines.

C'est là également qu'il va poursuivre ses recherches sur les techniques de son art, secrets parfois connus des peintres d'autrefois et perdus par la suite, qu'il s'efforçait de retrouver.

Dans le vieil appartement qu'il occupa longtemps, Place des Lices, dans ce Rennes ancien qu'il aimait, il s'était aménagé un atelier inspirateur, un véritable atelier d'alchimiste où chaque coin et recoin avait son attribution particulière.

C'est là que pendant bien des années il va expérimenter sans relâche ses huiles et ses couleurs, les exposant tout à tour à l'ombre et au soleil, en étudiant les réactions, se laissant guider autant par l'odeur que par la vue, amassant ainsi peu à peu la matière de son grand ouvrage: " La Technique de la peinture à l'huile ", devenu aujourd'hui le livre de chevet de bien des artistes du monde entier et le manuel classique des écoles d'art, traduit même en japonais !

Il n'en continuait pas moins à peindre. Ses expositions se succédaient tous les deux ou trois ans et elles étaient pour lui une satisfaction, bien sûr, mais aussi une épreuve. II lui fallait subir les réflexions des gens souvent pas très heureuses. Il en souriait souvent, mais elles frappaient parfois sa sensibilité de plein fouet. ll n'avait pas été sans surprendre les graves Rennais par ses harmonies un peu osées, telle dame assez âgée qui lui reprochait d'avoir des teintes " couleur de pain d'épice" ou cette excellente religieuse qui se scandalisait de ce que la barbe du Christ était bleue !

D'un autre côté, lui-même ne pouvait prendre au sérieux certains aspects de l'art contemporain et il préférait ne pas se rendre à certains vernissages plutôt que d'avoir à donner son avis et d'être obligé de critiquer des collègues.

Ceux-ci parfois dit-on ne pouvaient s'empêcher de jalouser l'étonnante variété et la qualité de ses modèles.

On connaît la charmante anecdote qu'Henri Terrière, je crois, a rapportée: comme on lui demandait comment il arrivait à se les procurer, il répondit avec beaucoup de candeur et de simplicité que quand il apercevait dans la rue une jeune femme qui lui paraissait correspondre à l'idéal de beauté qu'il recherchait, il l'abordait tout bonnement et il lui demandait si elle voulait bien poser pour lui et cela avec tant de courtoisie et de gentillesse qu'il essuyait rarement un refus.

Xavier de Langlais a été avant toute chose le peintre de la beauté féminine, aux paysages les plus splendides il préférait le corps humain et ses incursions dans les monts d Arrée et à travers le Saint-Malo dévasté n'auront été que passagères. On ne saurait trop s'étonner alors que le vieux Rennes au milieu duquel il vivait et dont il affectionnait le charme n'ait pas été pour lui un sujet d'inspiration; sa vocation était ailleurs.

Sans doute est-ce ce culte de la femme qui, dans un plan tout différent va l'amener à réincarner en breton, avec "Tristan Izold " puis en breton et en français avec son grand roman du Roi Arthur, l'essentiel de cette littérature courtoise jailli du vieux tronc celtique et que les Celtes avaient laissée par la suite à d'autres le soin de cultiver.

Sa présence au centre d'une ville d'Université, riche en bibliothèques, facilitait grandement ses recherches mais c'est dans son manoir de Kohanno cependant, au milieu du calme et des paysages de son enfance et de sa jeunesse qu'il mettait la dernière main à la rédaction de ses ouvrages.

Peut-on s'étonner qu'un homme en proie à des activités si absorbantes et si diverses se soit très peu mêlé à la vie officielle et mondaine de la capitale bretonne?

Non pas qu'il fut en aucune façon un misanthrope. Tous ceux qui l'ont connu ont conservé le souvenir de son amabilité et de sa gaîté et quand il se trouvait en société il y faisait montrer de beaucoup d'aisance et d'esprit, mais l'œuvre à accomplir, les tâches qu'il s'était méthodiquement fixées pour le reste de son existence le contraignaient souvent à la solitude.

Au fil des ans il semble que Rennes lui était devenu presque aussi nécessaire que son Vannetais natal. Arrivé à la retraite il n'envisageait plus de s'y retirer complètement mais de partager son temps entre sa campagne et cette ville d'adoption dont la vie culturelle et l'animation lui étaient devenues nécessaires et où il restera pour qui saura le reconnaître, à travers les âges, un des éternels passants.

Yann Bouëssel du Bourg

Partager cet article
Repost0
14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 22:47

QUELQUES PRECISIONS ESSENTIELLES

lire sur Alexandre Debain http://www.appl-lachaise.net/appl/article.php3?id_article=2960

 

Le mot "harmonium" doit son appellation à son inventeur Monsieur Alexandre DEBAIN.

Celui d'ETEL (56410- Morbihan), est un instrument rare à deux claviers, avec une registration riche de 7 jeux et demi.

Il comporte un médaillon précisant:"Bonnel représentant à Rennes- Pianoset Orgues- Médaille d'Or Exposition, 1878 Debain et Cie à Paris -inventeurs de l'harmonium".

 

A Debain est né en 1809 et mort en 1877. On pense qu'à la fin de sa vie la fabrique d'instruments de l'inventeur a été prolongée avec Monsieur Rodolph comme associé.

L'instrument d'Etel comporte 36 boutons ou tirettes, 2 pour accoupler les deux claviers, 2 pour ouvrir des jalousies, sortes de volets pour libérer un peu plus de son.

Il est doté d'une canne permettant d'actionner les soufflets par un intervenant extérieur, sur les côtés du meuble, afin de libérer - si souhaité - le musicien de la "corvée" de pédalage. De même un anémomètre mesure l'amplitude des soufflets. Les claviers se glissent latéralement pour baisser ou monter la tonalité (fonction transpositeur).

 

A l'époque de son achat à Etel (vers 1880), cette commune qui a commémoré ses 160 ans d'existence le 7 août 2010 (soit 1850), était un port thoniers florissant du temps de la pêche avec des dundees (bateaux à voile). Cette période révolue, Etel est un lieu de villégiature apprécié sur l'Atlantique, avec sa célèbre "barre", à l'entrée d'une magnifique Ria.

Etel est presque à équidistance entre Lorient et Vannes, et à 12 kms d'Auray.

 

Nous sommes fiers d'avoir pu faire restaurer cet instrument avec l'aide précieuse de la Mairie, et d'une centaine d'adhérents de Harmonie Orgue Etel, la nouvelle association qui a pris en charge l'évènementiel musical et culturel.

 

Jean-Yves Gouiffès

Président de HOE

 

 

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Harmonie Orgue Etel
  • : Association fondée fin 2009 pour restaurer un instrument ancien de 1880 env, un "harmonium" du nom de son inventeur Alexandre Debain. HOE vise désormais à une vie musicale de qualité autour de cet instrument,; à ce jour duo bombarde et orgue/harmonium, violon, quatuor vocal sont nés de cette initiative. Le blog annoncera régulièrement les concerts et prochains objectifs.
  • Contact

Recherche

Liens